Sur proposition de la ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Maggie De Block, le Conseil des ministres a approuvé ce vendredi un projet d'arrêté royal visant à répartir pour 2016 le montant destiné à la recherche fondamentale.

Chaque année, l'Office national de la sécurité sociale (ONSS) répartit le montant prévu dans la loi-programme, pour les fonds qui sont actifs dans le domaine. Ces moyens doivent être affectés à la création de mandats supplémentaires de doctorants ou post-doctorants.

Cette année, le montant s'élève à 35,61 millions d'euros, présentant une baisse quasiment imperceptible de... 200 euros.

Cette somme est partagée de façon assez équitable entre le Fonds voor wetenschappelijk onderzoek-Vlaanderen (FWO) et le Fonds national de la recherche scientifique (FNRS).

Cette année, le FWO reçoit 17,59 millions d'euros, contre 17,32 millions en 2015, et le FNRS, 18,02 millions, contre 18,29 millions un an auparavant.

Au-delà de l'économie

Pour mémoire, depuis 2007, le gouvernement fédéral permet aux institutions actives dans ce type de recherche de réinvestir les cotisations sociales dans l'emploi. Le Conseil des ministres peut décider, le cas échéant, de cibler les moyens octroyés sur des domaines de recherche plus spécifique.

L'ONSS est chargé de reverser ces montants aux différents fonds sur présentation de la preuve de l'engagement d'un ou plusieurs chercheurs et ce, au prorata des cotisations sociales qui sont prises en compte dans le présent dispositif.

Les moyens mis en oeuvre dans le cadre de ce dispositif oscillent entre un minimum de 30 millions d'euros et un maximum de 40 millions.

Mais, si depuis près de dix ans les gouvernements successifs tentent de mettre toutes les chances de leur côté pour alimenter la croissance économique, ces mesures soutiennent évidemment le développement en santé.

La recherche fondamentale nourrit la recherche appliquée, on en veut pour seul exemple la découverte du phénomène de résonance magnétique nucléaire et son application en imagerie médicale.

Sur proposition de la ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Maggie De Block, le Conseil des ministres a approuvé ce vendredi un projet d'arrêté royal visant à répartir pour 2016 le montant destiné à la recherche fondamentale.Chaque année, l'Office national de la sécurité sociale (ONSS) répartit le montant prévu dans la loi-programme, pour les fonds qui sont actifs dans le domaine. Ces moyens doivent être affectés à la création de mandats supplémentaires de doctorants ou post-doctorants.Cette année, le montant s'élève à 35,61 millions d'euros, présentant une baisse quasiment imperceptible de... 200 euros.Cette somme est partagée de façon assez équitable entre le Fonds voor wetenschappelijk onderzoek-Vlaanderen (FWO) et le Fonds national de la recherche scientifique (FNRS). Cette année, le FWO reçoit 17,59 millions d'euros, contre 17,32 millions en 2015, et le FNRS, 18,02 millions, contre 18,29 millions un an auparavant.Pour mémoire, depuis 2007, le gouvernement fédéral permet aux institutions actives dans ce type de recherche de réinvestir les cotisations sociales dans l'emploi. Le Conseil des ministres peut décider, le cas échéant, de cibler les moyens octroyés sur des domaines de recherche plus spécifique.L'ONSS est chargé de reverser ces montants aux différents fonds sur présentation de la preuve de l'engagement d'un ou plusieurs chercheurs et ce, au prorata des cotisations sociales qui sont prises en compte dans le présent dispositif.Les moyens mis en oeuvre dans le cadre de ce dispositif oscillent entre un minimum de 30 millions d'euros et un maximum de 40 millions.Mais, si depuis près de dix ans les gouvernements successifs tentent de mettre toutes les chances de leur côté pour alimenter la croissance économique, ces mesures soutiennent évidemment le développement en santé.La recherche fondamentale nourrit la recherche appliquée, on en veut pour seul exemple la découverte du phénomène de résonance magnétique nucléaire et son application en imagerie médicale.