Le nombre de personnes en incapacité de travail de plus d'un an n'a augmenté au premier trimestre que de 0,8% par rapport au premier trimestre de 2016, alors qu'il progressait l'an dernier de 2,1% sur la même période, rapportent jeudi L'Echo, De Tijd, De Morgen et Het Laatste Nieuws sur base de chiffres de l'Inami.

Pour la ministre de la Santé Maggie De Block, "ce ralentissement des incapacités de travail de longue durée est notamment dû aux nouvelles mesures pour favoriser la réintégration des travailleurs malades". Cela implique notamment que l'employeur est tenu de faire le maximum pour permettre la réintégration d'un travailleur si celle-ci semble possible. "Sur l'année passée, on a déjà vu une amélioration", note encore le cabinet De Block.

Ce recul a également un impact sur le budget puisqu'il devrait entraîner une économie de 40 millions d'euros en 2017, estime le gouvernement fédéral.

Le nombre de personnes en incapacité de travail de plus d'un an n'a augmenté au premier trimestre que de 0,8% par rapport au premier trimestre de 2016, alors qu'il progressait l'an dernier de 2,1% sur la même période, rapportent jeudi L'Echo, De Tijd, De Morgen et Het Laatste Nieuws sur base de chiffres de l'Inami. Pour la ministre de la Santé Maggie De Block, "ce ralentissement des incapacités de travail de longue durée est notamment dû aux nouvelles mesures pour favoriser la réintégration des travailleurs malades". Cela implique notamment que l'employeur est tenu de faire le maximum pour permettre la réintégration d'un travailleur si celle-ci semble possible. "Sur l'année passée, on a déjà vu une amélioration", note encore le cabinet De Block. Ce recul a également un impact sur le budget puisqu'il devrait entraîner une économie de 40 millions d'euros en 2017, estime le gouvernement fédéral.