Les Fédérations représentantes du secteur hospitalier, Gibbis, Santhea et Unessa expriment leur déception face au constat de blocage des discussions sur l'accord social qui se sont poursuivies tard dans la nuit du 13 au 14 janvier. Les hôpitaux estiment avoir dépensé beaucoup d'énergie pour mettre sur la table des " propositions équilibrées ". Les fédérations sectorielles " sont préoccupées par les exigences de plus en plus importantes et le manque d'ouverture au compromis de certaines organisations syndicales ". Mais elles espèrent tout de même régler le problème principal : le manque de personnel infirmier.
La transposition de l'accord social d'octobre 2017 en conventions collectives de travail (CCT) était au coeur des discussions entamées ce lundi 13 janvier. Or, selon les fédérations hospitalières par la voix de leurs coupoles respectives, " certaines organisations syndicales continuent à formuler des exigences en marge de l'accord social. Par ailleurs, elles entretiennent la confusion entre, d'une part, la conclusion des CCT nécessaires à l'application de l'accord et, d'autre part, le manque de personnel infirmier, maintes fois dénoncé également par les fédérations du secteur auprès des autorités ".
Les fédérations sectorielles affirment être demandeuses de finaliser sans délai les CCT qui déclinent l'accord social " pour s'attaquer au plus vite, avec les partenaires impliqués et les autorités, aux mesures à prendre pour lutter contre le manque de personnel infirmier, qui reste l'enjeu actuel majeur ".
Les Fédérations s'en tiennent à l'accord social fédéral signé en octobre 2017. Car il est, selon elles, équilibré. Il peut servir de base pour être transformé en CCT " en respectant mieux les attentes des deux bancs ".
La discussion reste ouverte du côté patronal qui espère beaucoup dans la réunion de la Commission paritaire qui doit se tenir le 27 janvier prochain. D'ici là, les fédérations du secteur " restent disponibles pour poursuivre les négociations afin d'aboutir à un accord dans lequel chaque partie confirme les engagements pris à la signature de l'accord social. "
La transposition de l'accord social d'octobre 2017 en conventions collectives de travail (CCT) était au coeur des discussions entamées ce lundi 13 janvier. Or, selon les fédérations hospitalières par la voix de leurs coupoles respectives, " certaines organisations syndicales continuent à formuler des exigences en marge de l'accord social. Par ailleurs, elles entretiennent la confusion entre, d'une part, la conclusion des CCT nécessaires à l'application de l'accord et, d'autre part, le manque de personnel infirmier, maintes fois dénoncé également par les fédérations du secteur auprès des autorités ".Les fédérations sectorielles affirment être demandeuses de finaliser sans délai les CCT qui déclinent l'accord social " pour s'attaquer au plus vite, avec les partenaires impliqués et les autorités, aux mesures à prendre pour lutter contre le manque de personnel infirmier, qui reste l'enjeu actuel majeur ". Les Fédérations s'en tiennent à l'accord social fédéral signé en octobre 2017. Car il est, selon elles, équilibré. Il peut servir de base pour être transformé en CCT " en respectant mieux les attentes des deux bancs ".La discussion reste ouverte du côté patronal qui espère beaucoup dans la réunion de la Commission paritaire qui doit se tenir le 27 janvier prochain. D'ici là, les fédérations du secteur " restent disponibles pour poursuivre les négociations afin d'aboutir à un accord dans lequel chaque partie confirme les engagements pris à la signature de l'accord social. "