L'attentat de Nice a fait au moins 84 morts. Huit mois après les attaques jihadistes à Paris, un homme au volant d'un camion a foncé sur la foule en pleines festivités du 14 juillet sur la Promenade des Anglais.

Après le drame, l'urgence de venir en aide aux blessés. Plusieurs dispositifs ont rapidement été mis en place pour prendre en charge les victimes de cette attaque. Deux plans d'urgence, le plan Orsec et le plan blanc, ont été déclenchés pour organiser, respectivement, la prise en charge initiale et la prise en charge dans les hôpitaux.

Les secours sont d'abord intervenus sur place, sur la zone de deux kilomètres le long de la Promenade.

Les hôtels situés à proximité ont été transformés en hôpital de fortune, explique le quotidien régional Nice-Matin. Une cellule psychologique d'urgence a également été mise en place à quelques mètres de là, au Centre universitaire méditerranéen (CUM). Les blessés ont ensuite été évacués vers les hôpitaux de la ville.

Notons qu'après l'attaque, les professionnels de santé sont revenus spontanément sur leur lieu de travail, soutenu par la ministre de la Santé publique, Marisol Touraine.

"Les victimes ont été orientées vers les hôpitaux en mesure de les accueillir, le plan d'urgence a bien fonctionné", a indiqué la ministre française face aux caméras d'iTélé.

Une cinquantaine d'enfants ont été hospitalisés à la fondation Lenval, hôpital pédiatrique de Nice. Deux d'entre eux y sont décédés vendredi matin au cours d'interventions chirurgicales, a indiqué la responsable de la communication de l'hôpital, "d'autres sont encore entre la vie et la mort".

Le pronostic vital d'une cinquantaine de personnes était toujours engagé vendredi après-midi, laissait entendre le président de la République française.

L'Établissement français du sang (EFS) indique que "les besoins en produits sanguins sont couverts par les dons des semaines précédentes" et invite la population à se "mobiliser dans la durée".

Les corps des victimes, eux, sont restés sur la promenade des Anglais pour permettre le travail de la police et n'étaient retirés que ce vendredi matin.

Des étrangers de diverses nationalités ont été tués jeudi soir dans l'attentat. Le ministère belge des Affaires étrangères a indiqué être sans nouvelles d'une vingtaine de ressortissants belges.

L'attentat de Nice a fait au moins 84 morts. Huit mois après les attaques jihadistes à Paris, un homme au volant d'un camion a foncé sur la foule en pleines festivités du 14 juillet sur la Promenade des Anglais.Après le drame, l'urgence de venir en aide aux blessés. Plusieurs dispositifs ont rapidement été mis en place pour prendre en charge les victimes de cette attaque. Deux plans d'urgence, le plan Orsec et le plan blanc, ont été déclenchés pour organiser, respectivement, la prise en charge initiale et la prise en charge dans les hôpitaux.Les secours sont d'abord intervenus sur place, sur la zone de deux kilomètres le long de la Promenade.Les hôtels situés à proximité ont été transformés en hôpital de fortune, explique le quotidien régional Nice-Matin. Une cellule psychologique d'urgence a également été mise en place à quelques mètres de là, au Centre universitaire méditerranéen (CUM). Les blessés ont ensuite été évacués vers les hôpitaux de la ville. Notons qu'après l'attaque, les professionnels de santé sont revenus spontanément sur leur lieu de travail, soutenu par la ministre de la Santé publique, Marisol Touraine. "Les victimes ont été orientées vers les hôpitaux en mesure de les accueillir, le plan d'urgence a bien fonctionné", a indiqué la ministre française face aux caméras d'iTélé.Une cinquantaine d'enfants ont été hospitalisés à la fondation Lenval, hôpital pédiatrique de Nice. Deux d'entre eux y sont décédés vendredi matin au cours d'interventions chirurgicales, a indiqué la responsable de la communication de l'hôpital, "d'autres sont encore entre la vie et la mort".Le pronostic vital d'une cinquantaine de personnes était toujours engagé vendredi après-midi, laissait entendre le président de la République française.L'Établissement français du sang (EFS) indique que "les besoins en produits sanguins sont couverts par les dons des semaines précédentes" et invite la population à se "mobiliser dans la durée".Les corps des victimes, eux, sont restés sur la promenade des Anglais pour permettre le travail de la police et n'étaient retirés que ce vendredi matin.Des étrangers de diverses nationalités ont été tués jeudi soir dans l'attentat. Le ministère belge des Affaires étrangères a indiqué être sans nouvelles d'une vingtaine de ressortissants belges.