Moins d'un enfant sur 20 décède dans nos services de soins intensifs pédiatriques. C'est ce que révèlent les chiffres que le journal du Médecin a receuilli auprès de quatre des dix unités de soins intensifs pédiatriques que compte notre pays. Les chiffres se sont améliorés, mais ils amènent dans leur sillage un questionnement : quel est l'état de santé de ces enfants sauvés ?
Quatre hôpitaux belges ont participé à l'enquête menée par le journal du Médecin, deux du côté francophone et deux du côté néerlandophone. L'objectif était, à travers les 12 mêmes questions, de comprendre les tendances qui se dessinent en Belgique. Quel est le taux de mortalité? Quelle est la durée moyenne de séjour? Quel est le taux de réadmission? Comment comprendre l'évolution des pathologies?
Des chiffres mais également des rencontres avec les médecins chefs de services intensifs pédiatres, il ressort que l'on sauve aujourd'hui plus d'enfants qu'avant. Mais il y a un revers à la médaille. Beaucoup d'enfants s'en sortent aujourd'hui avec des lésions permanentes. Beaucoup de malades chroniques survivent aujourd'hui, alors que ce n'était pas le cas auparavant.
Quatre hôpitaux belges ont participé à l'enquête menée par le journal du Médecin, deux du côté francophone et deux du côté néerlandophone. L'objectif était, à travers les 12 mêmes questions, de comprendre les tendances qui se dessinent en Belgique. Quel est le taux de mortalité? Quelle est la durée moyenne de séjour? Quel est le taux de réadmission? Comment comprendre l'évolution des pathologies?Des chiffres mais également des rencontres avec les médecins chefs de services intensifs pédiatres, il ressort que l'on sauve aujourd'hui plus d'enfants qu'avant. Mais il y a un revers à la médaille. Beaucoup d'enfants s'en sortent aujourd'hui avec des lésions permanentes. Beaucoup de malades chroniques survivent aujourd'hui, alors que ce n'était pas le cas auparavant.
