En résumé, l'enseignement est "essentiel mais pas "prioritaire". Une priorisation politique difficile à avaler pour les institutrices et professeurs qui depuis des mois doivent travailler dans des conditions difficiles et avec peu de moyens de protection en essayant de concilier apprentissage, épanouissement des élèves et distanciation physique.

Le Conseil supérieur de la santé a indiqué qu'il fallait d'abord protéger ceux qui ont (potentiellement) des contacts avec des personnes malades, donc par exemple les policiers en intervention. Ces derniers pourront bénéficier des doses du vaccin d'AstraZeneca (lire ci-contre). "Pour les enseignants, cela reste en discussion en Conférence interministérielle santé publique. Cela dépendra aussi des arrivées de vaccins", a précisé la ministre wallonne de la Santé, Christie Morreale, sur Bel Rtl.

Le problème des enseignants c'est qu'ils sont très nombreux: plus ou moins 100.000 en Fédération Wallonie-Bruxelles. Il faudrait pouvoir "libérer" 200.000 doses. Actuellement, cette communauté est trop grande pour être "prioritaire", mais reste "essentielle" pour la nation.

En résumé, l'enseignement est "essentiel mais pas "prioritaire". Une priorisation politique difficile à avaler pour les institutrices et professeurs qui depuis des mois doivent travailler dans des conditions difficiles et avec peu de moyens de protection en essayant de concilier apprentissage, épanouissement des élèves et distanciation physique. Le Conseil supérieur de la santé a indiqué qu'il fallait d'abord protéger ceux qui ont (potentiellement) des contacts avec des personnes malades, donc par exemple les policiers en intervention. Ces derniers pourront bénéficier des doses du vaccin d'AstraZeneca (lire ci-contre). "Pour les enseignants, cela reste en discussion en Conférence interministérielle santé publique. Cela dépendra aussi des arrivées de vaccins", a précisé la ministre wallonne de la Santé, Christie Morreale, sur Bel Rtl. Le problème des enseignants c'est qu'ils sont très nombreux: plus ou moins 100.000 en Fédération Wallonie-Bruxelles. Il faudrait pouvoir "libérer" 200.000 doses. Actuellement, cette communauté est trop grande pour être "prioritaire", mais reste "essentielle" pour la nation.