Une étude de Partenamut montre que la majorité des jeunes parents sont confrontés à une fatigue profonde, une charge mentale écrasante et une pression sociale intense.
Si les parents interrogés par la mutualité évoquent de nombreux qualificatifs positifs pour décrire leur expérience de la parentalité, plus de la moitié (55%) utilisent aussi l'adjectif 'fatigant'.
Depuis la naissance de son enfant, un parent sur cinq (20%) rapporte ressentir des périodes de mal-être plusieurs fois par semaine. Parmi les causes principales de cet état de santé mentale:
-Le manque de sommeil : 80% des parents déclarent avoir des nuits perturbées.
-La charge mentale : 72% des parents estiment que la charge mentale impacte directement leur quotidien, notamment la gestion des tâches familiales et l'anticipation des imprévus.
-L'absence de temps pour soi : 68% des parents souffrent de l'impact de l'arrivée d'un enfant sur leurs activités personnelles (loisirs, sorties, vacances, etc.).
L'âge moyen des parents sondés était, à la naissance de leur premier enfant, de 31 ans, "ce qui correspond à la tendance sociétale de parentalité tardive, souvent combinée à des carrières professionnelles exigeantes", souligne Partenamut dans son communiqué d'annonce des résultats.
Par ailleurs, plus d'un répondant sur trois (36%) évoque un sentiment d'incompétence ou de doute sur son rôle de parent face à la pression sociale importante quant à la capacité à tout concilier parfaitement, que ce soit au niveau professionnel ou familial.
Pour soutenir leur organisation familiale, les jeunes parents sollicitent leur proches, majoritairement leurs parents (76%), au moins une fois par semaine (29%), voire plusieurs fois (18%). Or cette génération - dite "sandwich" - est parfois elle-même déjà en surcharge mentale, entre travail jusqu'à 66-67 ans, enfants et petits-enfants, et ses propres parents vieillissants.
Si les parents interrogés par la mutualité évoquent de nombreux qualificatifs positifs pour décrire leur expérience de la parentalité, plus de la moitié (55%) utilisent aussi l'adjectif 'fatigant'.Depuis la naissance de son enfant, un parent sur cinq (20%) rapporte ressentir des périodes de mal-être plusieurs fois par semaine. Parmi les causes principales de cet état de santé mentale: -Le manque de sommeil : 80% des parents déclarent avoir des nuits perturbées.-La charge mentale : 72% des parents estiment que la charge mentale impacte directement leur quotidien, notamment la gestion des tâches familiales et l'anticipation des imprévus.-L'absence de temps pour soi : 68% des parents souffrent de l'impact de l'arrivée d'un enfant sur leurs activités personnelles (loisirs, sorties, vacances, etc.). L'âge moyen des parents sondés était, à la naissance de leur premier enfant, de 31 ans, "ce qui correspond à la tendance sociétale de parentalité tardive, souvent combinée à des carrières professionnelles exigeantes", souligne Partenamut dans son communiqué d'annonce des résultats. Par ailleurs, plus d'un répondant sur trois (36%) évoque un sentiment d'incompétence ou de doute sur son rôle de parent face à la pression sociale importante quant à la capacité à tout concilier parfaitement, que ce soit au niveau professionnel ou familial.Pour soutenir leur organisation familiale, les jeunes parents sollicitent leur proches, majoritairement leurs parents (76%), au moins une fois par semaine (29%), voire plusieurs fois (18%). Or cette génération - dite "sandwich" - est parfois elle-même déjà en surcharge mentale, entre travail jusqu'à 66-67 ans, enfants et petits-enfants, et ses propres parents vieillissants.