"La protection des femmes médecins est une question d'intérêt national et d'égalité. Notre pays ne peut se permettre d'attendre un autre viol pour agir", a souligné le président de la Cour suprême, Dhananjaya Yeshwant Chandrachud.

Le 9 août dernier, la découverte du corps sans vie d'une médecin stagiaire de 31 ans, dans un hôpital public de Calcutta, a provoqué une onde de choc dans le pays. Des manifestations se sont tenues dans plusieurs villes, initialement à l'appel des professionnels de santé, pour exiger des mesures de protection renforcées. Le mouvement a rapidement gagné en ampleur, rassemblant des milliers de citoyens et conduisant à des arrêts de travail dans certains établissements.

Un suspect mis en examen

Un suspect, un policier, a été interpellé et mis en examen dans le cadre de cette affaire. Les violences sexuelles à l'encontre des femmes sont très répandues en Inde, en dépit d'un renforcement de la législation après le viol collectif d'une étudiante de 23 ans en 2012.

"La protection des femmes médecins est une question d'intérêt national et d'égalité. Notre pays ne peut se permettre d'attendre un autre viol pour agir", a souligné le président de la Cour suprême, Dhananjaya Yeshwant Chandrachud.Le 9 août dernier, la découverte du corps sans vie d'une médecin stagiaire de 31 ans, dans un hôpital public de Calcutta, a provoqué une onde de choc dans le pays. Des manifestations se sont tenues dans plusieurs villes, initialement à l'appel des professionnels de santé, pour exiger des mesures de protection renforcées. Le mouvement a rapidement gagné en ampleur, rassemblant des milliers de citoyens et conduisant à des arrêts de travail dans certains établissements.Un suspect, un policier, a été interpellé et mis en examen dans le cadre de cette affaire. Les violences sexuelles à l'encontre des femmes sont très répandues en Inde, en dépit d'un renforcement de la législation après le viol collectif d'une étudiante de 23 ans en 2012.