Les personnes souffrant d'un trouble psychiatrique et représentant un danger pour elles-mêmes et pour autrui peuvent être contraintes à une hospitalisation en clinique psychiatrique, mais uniquement lorsqu'il n'existe aucune autre alternative. Cette mesure est imposée par un juge de paix ou, en cas d'urgence, par le procureur du Roi.

Le traitement volontaire sous conditions est une alternative intermédiaire entre l'admission forcée et le traitement totalement volontaire. Il s'appliquera aux personnes qui remplissent en principe les conditions de l'admission, mais qui souhaitent être aidées. Si la situation le permet, elles peuvent suivre volontairement un traitement sous réserve de remplir un certain nombre de conditions, par exemple élaborer un plan de traitement en concertation avec un médecin.

Un dispositif "nécessaire" pour l'Open Vld

Le traitement volontaire sous conditions doit être approuvé par un juge de paix. La période d'évaluation sera prolongée dans le cadre d'une procédure d'urgence, passant de 24 à 48 heures pour évaluer si une admission forcée est nécessaire.

L'attentat de Schaerbeek en novembre 2022, au cours duquel le policier Thomas Monjoie a perdu la vie, a souligné la nécessité d'un tel dispositif, selon le cabinet du ministre de la Justice démissionnaire Paul Van Tigchelt (Open Vld).

Les personnes souffrant d'un trouble psychiatrique et représentant un danger pour elles-mêmes et pour autrui peuvent être contraintes à une hospitalisation en clinique psychiatrique, mais uniquement lorsqu'il n'existe aucune autre alternative. Cette mesure est imposée par un juge de paix ou, en cas d'urgence, par le procureur du Roi.Le traitement volontaire sous conditions est une alternative intermédiaire entre l'admission forcée et le traitement totalement volontaire. Il s'appliquera aux personnes qui remplissent en principe les conditions de l'admission, mais qui souhaitent être aidées. Si la situation le permet, elles peuvent suivre volontairement un traitement sous réserve de remplir un certain nombre de conditions, par exemple élaborer un plan de traitement en concertation avec un médecin.Le traitement volontaire sous conditions doit être approuvé par un juge de paix. La période d'évaluation sera prolongée dans le cadre d'une procédure d'urgence, passant de 24 à 48 heures pour évaluer si une admission forcée est nécessaire.L'attentat de Schaerbeek en novembre 2022, au cours duquel le policier Thomas Monjoie a perdu la vie, a souligné la nécessité d'un tel dispositif, selon le cabinet du ministre de la Justice démissionnaire Paul Van Tigchelt (Open Vld).