"Le CHU Saint-Pierre a été victime de fausses nouvelles, calomnieuses et diffamatoires, qui ont circulé sur certains réseaux sociaux ces derniers jours", précise le communiqué. De fausses informations qui "portent atteinte la réputation du CHU Saint-Pierre et au travail des équipes entièrement mobilisées dans la gestion des problématiques sanitaires que nous connaissons", estime l'hôpital. "Ces fausses nouvelles nous paraissent d'autant plus inacceptables qu'elles peuvent avoir un effet déstabilisant sur la confiance du public envers les institutions de soins et envers les autorités qui gèrent la crise du coronavirus".

La direction de l'hôpital précise avoir obtenu mercredi matin une ordonnance du président du tribunal de première instance de Bruxelles "ordonnant aux personnes qui auraient (re)diffusé ou hébergé ces contenus mensongers et diffamatoires de les retirer, en ce compris donc les médias sociaux".

La rumeur, totalement infondée et d'ailleurs absurde, prétendait que l'hôpital gérait 30 cas de coronavirus en quarantaine, que l'hôpital était complètement débordé mais que personne ne pouvait en parler. Le personnel aurait d'ailleurs dû signer des contrats de confidentialité s'engageant à ne pas divulguer ces "informations"... Ces fake-news, très partagées hélas, sont actuellement en voie d'être effacées des réseaux sociaux...

"Le CHU Saint-Pierre a été victime de fausses nouvelles, calomnieuses et diffamatoires, qui ont circulé sur certains réseaux sociaux ces derniers jours", précise le communiqué. De fausses informations qui "portent atteinte la réputation du CHU Saint-Pierre et au travail des équipes entièrement mobilisées dans la gestion des problématiques sanitaires que nous connaissons", estime l'hôpital. "Ces fausses nouvelles nous paraissent d'autant plus inacceptables qu'elles peuvent avoir un effet déstabilisant sur la confiance du public envers les institutions de soins et envers les autorités qui gèrent la crise du coronavirus". La direction de l'hôpital précise avoir obtenu mercredi matin une ordonnance du président du tribunal de première instance de Bruxelles "ordonnant aux personnes qui auraient (re)diffusé ou hébergé ces contenus mensongers et diffamatoires de les retirer, en ce compris donc les médias sociaux".La rumeur, totalement infondée et d'ailleurs absurde, prétendait que l'hôpital gérait 30 cas de coronavirus en quarantaine, que l'hôpital était complètement débordé mais que personne ne pouvait en parler. Le personnel aurait d'ailleurs dû signer des contrats de confidentialité s'engageant à ne pas divulguer ces "informations"... Ces fake-news, très partagées hélas, sont actuellement en voie d'être effacées des réseaux sociaux...