La ministre de la Santé publique Maggie De Block motive cette décision au plan européen puisque l'UE vient d'harmoniser la réglementation cadre en matière d'essais cliniques. Ce qui risque de rendre notre pays moins attractif comme lieu pour mener des essais cliniques.

"Comme stimulant supplémentaire d'attractivité pour notre pays , nous avons donc décidé que pour les hôpitaux et l'industrie pharmaceutique, l'évaluation de la demande d'essai clinique soit sans coût pour les intéressés", précise Maggie De Block.

L'industrie a répondu au quart de tour. "C'est un signal important", se félicite Stefaan Fiers (pharma.be). Il souligne que la Belgique occupe déjà une position forte sur le plan des études cliniques. "Cette décision [du gouvernement] rend notre pays encore plus attractif comme destination pour les études cliniques. Le gouvernement élimine les obstacles financiers. Mais cela fait partie d'un paquet plus global qui consiste par exemple à accélérer les délais d'autorisation pour les études de phase I... Un collège national a été créé dont le but est de simplifier les évaluations en contrôlant entre autres le travail des comités d'éthique."

En 2016, selon le Morgen, 507 nouvelles études cliniques ont démarré. L'évaluation d'un étude clinique phase I coûte 5.507 euros, selon le même quotidien.

Un message positif donc à l'attention des sièges sociaux des entreprises du secteur que la Belgique est the place to be.

La ministre de la Santé publique Maggie De Block motive cette décision au plan européen puisque l'UE vient d'harmoniser la réglementation cadre en matière d'essais cliniques. Ce qui risque de rendre notre pays moins attractif comme lieu pour mener des essais cliniques."Comme stimulant supplémentaire d'attractivité pour notre pays , nous avons donc décidé que pour les hôpitaux et l'industrie pharmaceutique, l'évaluation de la demande d'essai clinique soit sans coût pour les intéressés", précise Maggie De Block.L'industrie a répondu au quart de tour. "C'est un signal important", se félicite Stefaan Fiers (pharma.be). Il souligne que la Belgique occupe déjà une position forte sur le plan des études cliniques. "Cette décision [du gouvernement] rend notre pays encore plus attractif comme destination pour les études cliniques. Le gouvernement élimine les obstacles financiers. Mais cela fait partie d'un paquet plus global qui consiste par exemple à accélérer les délais d'autorisation pour les études de phase I... Un collège national a été créé dont le but est de simplifier les évaluations en contrôlant entre autres le travail des comités d'éthique."En 2016, selon le Morgen, 507 nouvelles études cliniques ont démarré. L'évaluation d'un étude clinique phase I coûte 5.507 euros, selon le même quotidien.Un message positif donc à l'attention des sièges sociaux des entreprises du secteur que la Belgique est the place to be.