Le Premier ministre Alexander De Croo a prévenu mercredi soir que le relâchement des mesures sanitaires pour lutter contre le coronavirus se ferait "étape par étape", et sans doute par secteur.
"Je ne suis pas en train de dire que l'on va garder cette mesure (de limitation des contacts sociaux) jusqu'au milieu de l'été", a affirmé le chef du gouvernement fédéral lors de l'émission "A votre avis" de la RTBF-télévision.
Selon M. De Croo (Open Vld), la pandémie a montré que les contaminations au Covid-19 se produisent lors des contacts sociaux.
"On espère tous avoir plus de contacts sociaux (...) mais je pense que maintenant nous ne sommes pas encore dans la situation où il est possible de le faire", a-t-il ajouté.
M. De Croo a une nouvelle fois souligné que la situation épidémiologique en Belgique était relativement bonne par rapport à celle qui prévaut dans d'autres pays européens. Elle est "stable" depuis le mois de décembre dernier, grâce à des "règles stables" depuis la mi-novembre que "la très très grande majorité des Belges respectent", a-t-il salué.
"On a trouvé un set de mesures qui fonctionnent assez bien", a-t-il souligné, tout en reconnaissant qu'elles étaient "dures à subir".
Le Premier ministre a fait la comparaison avec d'autres pays "qui ont souvent eu des règles qu'ils ont relâchées puis qu'ils ont dû reprendre (durcir, ndlr)".
"En Belgique, les écoles sont restées ouvertes. Ce n'est pas le cas dans des pays avoisinants. En Belgique, les magasins sont tous ouverts, ce n'est pas le cas dans d'autres pays", a fait valoir M. De Croo.
Il a prévenu que le relâchement des mesures serait progressif, selon les secteurs. "Ce qu'il ne faut pas faire, c'est de tout faire en même temps", a-t-il affirmé, en rappelant l'exemple des coiffeurs qui sont autorisés à rouvrir leur salon dès samedi, le 13 février, alors que les autres métiers non-médicaux de contact devront attendre le 1er mars pour faire de même.
Belga
"Je ne suis pas en train de dire que l'on va garder cette mesure (de limitation des contacts sociaux) jusqu'au milieu de l'été", a affirmé le chef du gouvernement fédéral lors de l'émission "A votre avis" de la RTBF-télévision. Selon M. De Croo (Open Vld), la pandémie a montré que les contaminations au Covid-19 se produisent lors des contacts sociaux. "On espère tous avoir plus de contacts sociaux (...) mais je pense que maintenant nous ne sommes pas encore dans la situation où il est possible de le faire", a-t-il ajouté. M. De Croo a une nouvelle fois souligné que la situation épidémiologique en Belgique était relativement bonne par rapport à celle qui prévaut dans d'autres pays européens. Elle est "stable" depuis le mois de décembre dernier, grâce à des "règles stables" depuis la mi-novembre que "la très très grande majorité des Belges respectent", a-t-il salué. "On a trouvé un set de mesures qui fonctionnent assez bien", a-t-il souligné, tout en reconnaissant qu'elles étaient "dures à subir". Le Premier ministre a fait la comparaison avec d'autres pays "qui ont souvent eu des règles qu'ils ont relâchées puis qu'ils ont dû reprendre (durcir, ndlr)". "En Belgique, les écoles sont restées ouvertes. Ce n'est pas le cas dans des pays avoisinants. En Belgique, les magasins sont tous ouverts, ce n'est pas le cas dans d'autres pays", a fait valoir M. De Croo. Il a prévenu que le relâchement des mesures serait progressif, selon les secteurs. "Ce qu'il ne faut pas faire, c'est de tout faire en même temps", a-t-il affirmé, en rappelant l'exemple des coiffeurs qui sont autorisés à rouvrir leur salon dès samedi, le 13 février, alors que les autres métiers non-médicaux de contact devront attendre le 1er mars pour faire de même.Belga