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Contacté par la rédaction, il dit le regretter mais il explique ce pas de côté par de profondes divergences de vues avec quelques administrateurs sur les méthodes à adopter dans la défense des dossiers. "Des divergences sur des sujets stratégiques mettent en péril la collaboration efficace qui a été mon objectif constant pendant près de 10 ans et la confiance nécessaire à une pleine réussite des missions que s'assigne santhea", résume Michel Mahaux, qui a incarné durant des années l'association.Michel Mahaux déclare assumer sereinement cette rupture qui n'entame absolument pas ses convictions, et sa volonté de continuer à défendre la qualité et l'accessibilité des soins de santé pour l'ensemble de celles et ceux qui résident en Belgique reste intacte.A 62 ans, après 37 années passées dans le secteur des soins de santé, il ne se voit pas encore dans la peau d'un jeune retraité et se sent encore toute l'énergie et la volonté nécessaires pour mettre son expérience et sa grande connaissance du secteur au service de ceux qui en auraient besoin.Ce pédagogue, respectueux des autres "camps" (médecins, mutuelles...), s'est toujours montré durant son mandat de directeur général adjoint de santhea fort disponible pour éclairer dans la presse (médicale et générale) les enjeux du secteur hospitalier.