Des trafiquants de drogue et autres criminels opèrent "à grande échelle" dans le secteur des soins de santé néerlandais. Sans avoir aucune formation, ils s'occupent de patients vulnérables, tels que des personnes atteintes de démence ou souffrant de handicaps mentaux. Pendant que ces criminels se remplissent les poches, les patients se retrouvent dans des situations dangereuses et humiliantes, alerte la police néerlandaise dans un rapport interne relayé mardi par RTL Nederland.
Ces dealers et autres auteurs de violence travaillent sans diplôme et empochent des sommes de 12.000 euros par mois. "Il s'agit de grands criminels qui sont au chevet des personnes les plus vulnérables de la société et qui accomplissent des actes risqués sans formation", avertit la police dans le rapport intitulé "Criminals in care, a major concern". Le document dresse le tableau de pratiques déconcertantes dans le pays.
La police révèle notamment que des criminels travaillant en extra sont amenés à faire des injections ou à donner des médicaments sans avoir aucune connaissance de telles pratiques, ce qui mène à des situations dangereuses. La réaction de ces personnes lors de situation d'urgence ne serait par ailleurs pas adéquate. "En outre, ces criminels communiquent entre eux avec beaucoup de condescendance, sans aucune empathie et parfois même en se moquant de leur travail et de leurs patients", souligne-t-on.
Ces dealers et autres auteurs de violence travaillent sans diplôme et empochent des sommes de 12.000 euros par mois. "Il s'agit de grands criminels qui sont au chevet des personnes les plus vulnérables de la société et qui accomplissent des actes risqués sans formation", avertit la police dans le rapport intitulé "Criminals in care, a major concern". Le document dresse le tableau de pratiques déconcertantes dans le pays. La police révèle notamment que des criminels travaillant en extra sont amenés à faire des injections ou à donner des médicaments sans avoir aucune connaissance de telles pratiques, ce qui mène à des situations dangereuses. La réaction de ces personnes lors de situation d'urgence ne serait par ailleurs pas adéquate. "En outre, ces criminels communiquent entre eux avec beaucoup de condescendance, sans aucune empathie et parfois même en se moquant de leur travail et de leurs patients", souligne-t-on.