Pour rappel, cette réforme consacre, entre autres, l'idée de prendre en compte, dans la détermination des droits de pension, la réalité des fonctions professionnelles exercées et la pénibilité qui y est attachée. Lors d'un colloque organisé récemment par les Chambres syndicales de Hainaut, Namur et Brabant Wallon ( lire en page 6), le Dr Bacquelaine a eu l'occasion de défendre sa politique devant des confrères venus en nombre se renseigner. Certains n'ont pas manqué de s'étonner, voire de s'offusquer, de l'absence de la profession de médecins dans la liste des métiers (enseignants, infirmiers, policiers...) qui pourraient à l'avenir bénéficier d'une reconnaissance du caractère " pénible " de leur activité professionnelle et activer plus rapidement leur droit à la pension. Et d'argumenter en soulignant les gardes épuisantes, l'indispensable flexibilité, la lourdeur des horaires, le niveau élevé de responsabilité, la charge psychologique et émotionnelle, la pression administrative et managériale... Et vous, qu'en pensez-vous ? Estimez-vous pratiquer un métier " pénible " ? La réforme devrait-elle en tenir compte ? N'hésitez pas à m'envoyer vos réactions à vincent.claes@roularta.be.

Pour rappel, cette réforme consacre, entre autres, l'idée de prendre en compte, dans la détermination des droits de pension, la réalité des fonctions professionnelles exercées et la pénibilité qui y est attachée. Lors d'un colloque organisé récemment par les Chambres syndicales de Hainaut, Namur et Brabant Wallon ( lire en page 6), le Dr Bacquelaine a eu l'occasion de défendre sa politique devant des confrères venus en nombre se renseigner. Certains n'ont pas manqué de s'étonner, voire de s'offusquer, de l'absence de la profession de médecins dans la liste des métiers (enseignants, infirmiers, policiers...) qui pourraient à l'avenir bénéficier d'une reconnaissance du caractère " pénible " de leur activité professionnelle et activer plus rapidement leur droit à la pension. Et d'argumenter en soulignant les gardes épuisantes, l'indispensable flexibilité, la lourdeur des horaires, le niveau élevé de responsabilité, la charge psychologique et émotionnelle, la pression administrative et managériale... Et vous, qu'en pensez-vous ? Estimez-vous pratiquer un métier " pénible " ? La réforme devrait-elle en tenir compte ? N'hésitez pas à m'envoyer vos réactions à vincent.claes@roularta.be.