Plus de 25.000 travailleurs du non-marchand ont défilé dans la capitale, selon un décompte de la police bruxelloise. Le cortège a démarré des abords de la gare du Nord pour rejoindre la place Poelart, où des prises de parole ont eu lieu.

Sur les pancartes et banderoles aux divers messages visant les autorités: "Il est temps pour le non-marchand", "l'austérité nuit gravement à la santé" ou encore "pour les riches le paradis fiscal, pour nous l'enfer social".

© BELGA

Une scène "Non-marchand for life" a également été installée au Mont des arts, en référence au cube "Viva for life" que la RTBF installe chaque année. L'installation visait à dénoncer les conditions de travail du secteur.

Avec cette manifestation, les travailleurs des secteurs des soins, de l'aide sociale, de l'accueil de l'enfance, du handicap, du socioculturel ou encore de l'enseignement avaient la volonté de s'inviter à l'agenda des responsables et des négociateurs politiques, notamment au fédéral.

Les syndicats ont exprimé leur inquiétude vis-à-vis du peu d'attention accordée au personnel du non-marchand dans les notes qui ont fuité et les économies annoncées. Ils alertent également sur une pénurie générale de personnel qui entraîne une hausse de la charge de travail, avec "des cadences infernales".

Plus de 25.000 travailleurs du non-marchand ont défilé dans la capitale, selon un décompte de la police bruxelloise. Le cortège a démarré des abords de la gare du Nord pour rejoindre la place Poelart, où des prises de parole ont eu lieu. Sur les pancartes et banderoles aux divers messages visant les autorités: "Il est temps pour le non-marchand", "l'austérité nuit gravement à la santé" ou encore "pour les riches le paradis fiscal, pour nous l'enfer social".Une scène "Non-marchand for life" a également été installée au Mont des arts, en référence au cube "Viva for life" que la RTBF installe chaque année. L'installation visait à dénoncer les conditions de travail du secteur.Avec cette manifestation, les travailleurs des secteurs des soins, de l'aide sociale, de l'accueil de l'enfance, du handicap, du socioculturel ou encore de l'enseignement avaient la volonté de s'inviter à l'agenda des responsables et des négociateurs politiques, notamment au fédéral.Les syndicats ont exprimé leur inquiétude vis-à-vis du peu d'attention accordée au personnel du non-marchand dans les notes qui ont fuité et les économies annoncées. Ils alertent également sur une pénurie générale de personnel qui entraîne une hausse de la charge de travail, avec "des cadences infernales".