Les géants de l'industrie pharmaceutique Sanofi et GSK ont annoncé mardi leur intention d'allier leurs forces "pour développer un vaccin avec adjuvant contre le Covid-19", une collaboration qui s'ajoute à un foisonnement d'initiatives visant à combattre la pandémie.
Les laboratoires français et britannique, "vont combiner leurs technologies innovantes pour développer un vaccin avec adjuvant contre le Covid-19", ont-ils indiqué dans un communiqué.
Le coeur de la divison vaccins de GSK se trouve dans le Brabant wallon, avec trois sites de production.
"Le candidat-vaccin devrait entrer au stade des essais cliniques au deuxième semestre 2020 et, en cas de succès, être disponible au deuxième semestre 2021", ont ajouté Sanofi et GSK.
Le premier "apportera à cette collaboration son antigène de la protéine S du Covid-19", et le laboratoire britannique "sa technologie de production de vaccins avec adjuvant à usage pandémique".
La combinaison d'un antigène protéique et d'un adjuvant est qualifiée de "procédure bien établie, utilisée dans plusieurs vaccins déjà commercialisés".
L'initiative s'inscrit dans le cadre de la collaboration nouée en février par Sanofi avec la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), qui dépend du ministère américain de la Santé selon le communiqué.
Une course mondiale au vaccin contre le coronavirus, qui a causé plus de 117.000 décès sur la planète, s'est engagée.
Lundi, le président ukrainien a promis un million de dollars aux scientifiques du pays qui parviendraient à développer un vaccin, tandis que le Royaume-Uni a investi des centaines de millions de livres au profit de la Coalition pour les innovations en préparation aux épidémies (CEPI).
Mi-mars, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen avait dit espérer un vaccin contre le nouveau coronavirus "avant l'automne".
Les laboratoires français et britannique, "vont combiner leurs technologies innovantes pour développer un vaccin avec adjuvant contre le Covid-19", ont-ils indiqué dans un communiqué. Le coeur de la divison vaccins de GSK se trouve dans le Brabant wallon, avec trois sites de production. "Le candidat-vaccin devrait entrer au stade des essais cliniques au deuxième semestre 2020 et, en cas de succès, être disponible au deuxième semestre 2021", ont ajouté Sanofi et GSK. Le premier "apportera à cette collaboration son antigène de la protéine S du Covid-19", et le laboratoire britannique "sa technologie de production de vaccins avec adjuvant à usage pandémique". La combinaison d'un antigène protéique et d'un adjuvant est qualifiée de "procédure bien établie, utilisée dans plusieurs vaccins déjà commercialisés". L'initiative s'inscrit dans le cadre de la collaboration nouée en février par Sanofi avec la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), qui dépend du ministère américain de la Santé selon le communiqué. Une course mondiale au vaccin contre le coronavirus, qui a causé plus de 117.000 décès sur la planète, s'est engagée. Lundi, le président ukrainien a promis un million de dollars aux scientifiques du pays qui parviendraient à développer un vaccin, tandis que le Royaume-Uni a investi des centaines de millions de livres au profit de la Coalition pour les innovations en préparation aux épidémies (CEPI). Mi-mars, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen avait dit espérer un vaccin contre le nouveau coronavirus "avant l'automne".