Depuis le début de la pandémie - il y a un an! - les autorités et de nombreux prestataires ont le nez dans le guidon, obligés d'avancer pour se battre contre le coronavirus en prenant des bonnes et des mauvaises décisions. Heureusement, il est encore possible de trouver un peu de temps pour réfléchir à l'avenir de notre système des soins de santé, hors Covid. C'est ce que l'Inami a proposé lundi soir. Un défi ambitieux: octroyer, dans le cadre du budget, des moyens aux objectifs de soins de santé.
"Cette initiative correspond de près à l'ambition de l'accord de gouvernement d'entamer une transformation de notre système de soins de santé afin d'en améliorer constamment la qualité et l'accessibilité et de les adapter aux nouveaux besoins des patients. L'accord de gouvernement a pour ambition de réduire, d'ici 2030, de 25% les inégalités de santé en matière d'espérance de vie en bonne santé, de réduire de 15% le taux de mortalité évitable et de faire partie du "top 10" européen des pays qui ont le plus grand nombre d'années de vie en bonne santé. Il s'agit d'objectifs en matière de santé qui exigent des efforts à de nombreux niveaux et domaines de compétences. Mais les soins de santé peuvent évidemment apporter une contribution importante dans ce contexte", a déclaré le ministre de la Santé lors du "Kick-off Meeting" de lundi. Et de souligner que "le financement actuel par prestation atteint ses limites, comme le confirme également la crise actuelle. Nous devons évoluer vers un modèle de financement à plusieurs degrés, composé d'éléments tels que le financement à la capitation, le financement par pratique, le financement à l'innovation et le financement par prestation."
Les partenaires du secteur ont jusqu'au mois de juin 2021 pour élaborer un nouveau modèle. "Le défi qui est lancé est gigantesque et le timing très serré!", commente le GBO, qui se déclare prêt à collaborer de façon constructive.
"Cette initiative correspond de près à l'ambition de l'accord de gouvernement d'entamer une transformation de notre système de soins de santé afin d'en améliorer constamment la qualité et l'accessibilité et de les adapter aux nouveaux besoins des patients. L'accord de gouvernement a pour ambition de réduire, d'ici 2030, de 25% les inégalités de santé en matière d'espérance de vie en bonne santé, de réduire de 15% le taux de mortalité évitable et de faire partie du "top 10" européen des pays qui ont le plus grand nombre d'années de vie en bonne santé. Il s'agit d'objectifs en matière de santé qui exigent des efforts à de nombreux niveaux et domaines de compétences. Mais les soins de santé peuvent évidemment apporter une contribution importante dans ce contexte", a déclaré le ministre de la Santé lors du "Kick-off Meeting" de lundi. Et de souligner que "le financement actuel par prestation atteint ses limites, comme le confirme également la crise actuelle. Nous devons évoluer vers un modèle de financement à plusieurs degrés, composé d'éléments tels que le financement à la capitation, le financement par pratique, le financement à l'innovation et le financement par prestation."Les partenaires du secteur ont jusqu'au mois de juin 2021 pour élaborer un nouveau modèle. "Le défi qui est lancé est gigantesque et le timing très serré!", commente le GBO, qui se déclare prêt à collaborer de façon constructive.
