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" En plus de poursuivre les investissements et les réformes dans nos soins de santé, il est essentiel pour l'avenir de notre système de soins de renforcer le statut social des prestataires de soins qui respectent les accords tarifaires et qui ne génèrent donc pas de coûts supplémentaires pour le patient. Un avenir dans lequel les prestataires de soins qui choisissent de se conventionner bénéficient également de la sécurité nécessaire. Non seulement pour plus tard, lorsqu'ils prendront leur retraite, mais aussi lorsqu'ils doivent arrêter de travailler quelque temps au cours de leur carrière, par exemple en raison d'une maladie ou d'un évènement malheureux ", explique Frank Vandenbroucke.Pour les prestataires de soins conventionnés, l'Inami accorde un avantage social en vue de l'octroi d'un revenu, d'une pension ou d'un capital en cas d'invalidité, de pension et/ou de décès. Les prestataires de soins qui restent actifs après avoir pris leur pension légale bénéficient d'un autre avantage : l'avantage de convention. Conjointement, ces deux avantages sont dénommés " statut social ". Pour les médecins non agréés jusqu'à présent (sans titre professionnel particulier, sans droits acquis et les médecins généralistes sur la base de droits acquis), l'agrément est précisé et assimilé à celui des médecins agréés. Des seuils d'activité (identiques à ceux des autres spécialités) seront également inscrits pour les nouvelles spécialisations de génétique clinique et de médecine légale, indique le cabinet Vandenbroucke.