Les chercheurs ont étudié les résultats de l'immunothérapie chez plus de 850 patients porteurs d'un mélanome afin de clarifier la durée optimale de traitement lorsqu'il fonctionne. Une donnée importante car le traitement est onéreux et peut avoir des effets secondaires, précise l'UZ Brussel.

"Sur la base des résultats de notre étude, je conclus que pour ce groupe de patients atteints d'un mélanome, qui ont une réponse excellente à l'immunothérapie, une durée d'un an de traitement est probablement un bon consensus", indique le Pr Bart Neyns, chef de clinique oncologie médicale. "L'évolution favorable persistante des patients plus d'un an après l'arrêt du traitement n'était pas significativement différente de celle observée chez des patients qui étaient traités plus longtemps."

L'immunothérapie constitue "une percée importante" pour les patients porteurs d'un mélanome métastasé, rappelle l'UZ Brussel. Elle améliore les chances de survie de manière significative et permet de garder la maladie sous contrôle après cinq ans chez environ 25% des patients.

Les chercheurs ont étudié les résultats de l'immunothérapie chez plus de 850 patients porteurs d'un mélanome afin de clarifier la durée optimale de traitement lorsqu'il fonctionne. Une donnée importante car le traitement est onéreux et peut avoir des effets secondaires, précise l'UZ Brussel. "Sur la base des résultats de notre étude, je conclus que pour ce groupe de patients atteints d'un mélanome, qui ont une réponse excellente à l'immunothérapie, une durée d'un an de traitement est probablement un bon consensus", indique le Pr Bart Neyns, chef de clinique oncologie médicale. "L'évolution favorable persistante des patients plus d'un an après l'arrêt du traitement n'était pas significativement différente de celle observée chez des patients qui étaient traités plus longtemps." L'immunothérapie constitue "une percée importante" pour les patients porteurs d'un mélanome métastasé, rappelle l'UZ Brussel. Elle améliore les chances de survie de manière significative et permet de garder la maladie sous contrôle après cinq ans chez environ 25% des patients.