Affaires courantes ou pas, le ministre fédéral de la Santé publique Frank Vandebroucke a appelé mardi à la Chambre à ce que le budget 2025 des soins de santé soit adopté dans les délais.
Le 21 octobre, le conseil général de l'Inami (qui réunit des représentants du gouvernement fédéral, des mutualités et des médecins) doit se mettre d'accord sur ce budget 2025, a-t-il rappelé. "Les partenaires et le gouvernement devront agir", a-t-il exhorté, sans préciser de quel gouvernement il s'agit. Selon lui, l'adoption d'un budget 2025 est nécessaire afin d'assurer de la sécurité pour toutes les parties.
Les représentants des mutuelles, des prestataires de soins et des établissements de soins ont annoncé lundi avoir proposé un budget 2025 pour les soins de santé comprenant 216 millions d'euros de mesures d'économies.
Maintenir la norme de croissance à 2,5 %
Fin septembre, Frank Vandenbroucke avait tiré la sonnette d'alarme et demandé une intervention alors que des dépenses excessives du côté des dentistes, des radiologues et des implants risquent de faire déraper le budget de l'assurance-maladie de 217 millions d'euros.
Interrogé par Irina De Knop (Open Vld), Sofie Merckx (PTB) et Dominiek Sneppe (Vlaams Belang), Frank Vandenbroucke a salué cette "première étape" franchie lundi. Il a en outre appelé à ne pas s'écarter de la trajectoire actuelle d'une norme de croissance de 2,5%, au-delà de l'inflation.
Le 21 octobre, le conseil général de l'Inami (qui réunit des représentants du gouvernement fédéral, des mutualités et des médecins) doit se mettre d'accord sur ce budget 2025, a-t-il rappelé. "Les partenaires et le gouvernement devront agir", a-t-il exhorté, sans préciser de quel gouvernement il s'agit. Selon lui, l'adoption d'un budget 2025 est nécessaire afin d'assurer de la sécurité pour toutes les parties.Les représentants des mutuelles, des prestataires de soins et des établissements de soins ont annoncé lundi avoir proposé un budget 2025 pour les soins de santé comprenant 216 millions d'euros de mesures d'économies.Fin septembre, Frank Vandenbroucke avait tiré la sonnette d'alarme et demandé une intervention alors que des dépenses excessives du côté des dentistes, des radiologues et des implants risquent de faire déraper le budget de l'assurance-maladie de 217 millions d'euros.Interrogé par Irina De Knop (Open Vld), Sofie Merckx (PTB) et Dominiek Sneppe (Vlaams Belang), Frank Vandenbroucke a salué cette "première étape" franchie lundi. Il a en outre appelé à ne pas s'écarter de la trajectoire actuelle d'une norme de croissance de 2,5%, au-delà de l'inflation.
