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Il y a un quart de siècle, le 29 avril 1999, la 'Loi relative aux pratiques non conventionnelles dans les domaines de l'art médical, de l'art pharmaceutique, de la kinésithérapie, de l'art infirmier et des professions paramédicales' était ratifiée par le roi Albert II. Elle est également connue sous le nom de Loi Colla, du nom du ministre de la Santé publique de l'époque.

L'AR modifiant l'article 155 de la Loi sur les hôpitaux est passé au Moniteur. Un bon compromis pour l'Absym qui, après avoir mené combat pendant cinq ans, se réjouit de cette clarification sur l'usage des frais.

Cette expression était employée par le Dr Wynen pour désigner le partage des honoraires médicaux avec les gestionnaires d'hôpital.

Cette expression était employée par le Dr Wynen pour désigner le partage des honoraires médicaux avec les gestionnaires de leur hôpital. Dans les années 60, le terme 'dichotomie' désignait le partage d'honoraires du spécialiste avec le généraliste qui lui envoyait un patient, et du labo ou la radio qui versait une commission à l'envoyeur de clients. André Wynen l'étendit au partage des honoraires du spécialiste avec l'hôpital qui l'accueillait.

La semaine dernière, la dénonciation éventuelle de l'accord médico-mut a fait couler beaucoup d'encre. La raison en était la loi votée autour de l'interdiction des suppléments pour les patients financièrement vulnérables. Bien que nous, en tant qu'ASGB/Cartel, n'ayons pas souscrit à cette dénonciation, cette question montre à quel point les suppléments sont sensibles tant auprès de l'opinion publique que des prestataires de soins de santé.

La semaine dernière, la dénonciation éventuelle de l'accord médico-mut a fait couler beaucoup d'encre. La raison en était la loi votée autour de l'interdiction des suppléments pour les patients financièrement vulnérables. Bien que nous, en tant qu'ASGB/Cartel, n'ayons pas souscrit à cette dénonciation, cette question montre à quel point les suppléments sont sensibles tant auprès de l'opinion publique que des prestataires de soins de santé.

L'arrêté royal concernant les compétences du personnel infirmier a récemment été revu. Cela ne change par contre rien aux points de départ de cette loi, qui sont dépassés. Le temps d'un changement en profondeur est venu.

" La pression constante exercée par l'ABSyM a été payante ", se réjouit son président, le Dr Herry " un arrêté royal du ministre Frank Vandenbroucke autorise les pharmaciens à fournir les vaccins Covid-19 aux médecins qui en font la demande par écrit. " Qui y voit " une victoire importante pour l'Absym. Mais la bataille n'est pas encore terminée... "

La note du ministre Frank Vandenbroucke sur la réforme de l'organisation et du financement des hôpitaux contient une phrase intrigante, négligée jusqu'à présent. À tort?

L'Inami l'annonçait récemment: la procédure de remboursement pour les quelque 232.000 patients souffrant de douleurs chroniques est fortement simplifiée. Leurs analgésiques soumis à autorisation du médecin-conseil suivront, dès le 1er janvier prochain, une seule procédure, celle du chapitre IV. Ainsi le médecin fera une seule demande de remboursement à vie. Le patient sera remboursé à 75% plutôt qu'à 20%.

La nouvelle loi sur la pandémie, récemment approuvée par le Parlement, prévoit que les experts en pandémie doivent respecter un "code d'éthique ". Le Pr Herman Nys (KU Leuven) se demande à quoi cela sert. Et si l'intention est peut-être de faire fuir les experts potentiels...

Vendredi dernier, le conseil des ministres a approuvé le projet d'AR prolongeant l'intervention financière temporaire dans les coûts des mesures de protection spécifiques et du matériel pour les dispensateurs de soins ambulatoires dans le cadre de la pandémie Covid-19 pour la période septembre-novembre 2020.

L'entrée en vigueur de la " circulaire OA n° 2018/72 du 7 mars 2018 - 3910/1650 " qui appliquait l'arrêté royal adaptant la nomenclature relative aux mammographies est ajournée.

Le ministre de l'Économie et des Consommateurs, Kris Peeters, voit son arrêté royal du 24 septembre 2017 attaqué par Febelsol, la Fédération des centres de bronzage, devant le Conseil d'Etat. Ce texte impose la consultation médicale avant de passer sous le banc solaire. Il s'agit du énième épisode de la saga qui oppose la santé publique et ce secteur.

Le Conseil d'Etat a examiné récemment deux actions intentées dans le cadre de l'arrêté-royal qui réglemente l'usage de l'homéopathie. L'une émane de médecins qui pratiquent cette médecine parallèle et l'autre provient de l'Absym. Les arguments des uns et des autres n'ont pas été considérés comme pertinents par la haute cour.

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