Victime le 26 mai dernier d'un ransomware (logiciel d'extorsion moyennant rançon), le Centre hospitalier régional Sambre et Meuse (CHRSM) a fait le point fin août. Ayant refusé de prendre même contact avec le hackeur suivant les recommandations des autorités, l'hôpital a analysé les 127 gigabytes de données de santé publiées de manière désordonnée sur le darkweb... "Il se confirme que les dossiers médicaux des patients n'ont pas été touchés."