Tout sur De Standaard

Des élections se dérouleront le 9 juin. Elles sont plus importantes que d'habitude. Leurs résultats détermineront en effet la direction que l'Europe, notre pays et nos États fédérés prendront dans les années à venir. Cette fois-ci, l'enjeu est réellement de taille.

Les médecins qui enfreignent la loi sur l'euthanasie pourront également bénéficier d'une réduction de peine ou d'une sanction disciplinaire. Le gouvernement De Croo est arrivé à se mettre d'accord à ce sujet. L'information est confirmée par le cabinet du ministre de la Justice Paul Van Tigchelt (Open VLD).

L'Absym considère que le ministre Vandenbroucke franchit la ligne rouge en voulant introduire une interdiction générale des suppléments d'honoraires pour les patients sous statut Omnio en soins ambulatoires. "Le ministre veut imposer des tarifs conventionnés aux médecins non conventionnés, fragilisant ainsi tout le système de la convention", réagit le Dr Johan Blanckaert, président du syndicat médical.

L'Absym considère que le ministre Vandenbroucke franchit la ligne rouge en voulant introduire une interdiction générale des suppléments d'honoraires pour les patients sous statut Omnio en soins ambulatoires. " Le ministre veut imposer des tarifs conventionnés aux médecins non conventionnés, fragilisant ainsi tout le système de la convention ", réagit le Dr Johan Blanckaert, président du syndicat médical.

Le ministre fédéral de la Santé publique Frank Vandenbroucke (Vooruit) veut imposer à tous les hôpitaux de disposer d'au moins un radiologue pratiquant des tarifs abordables. "Si de nombreuses personnes, y compris issues de la classe moyenne, ont des problèmes financiers en raison de la crise énergétique, il est possible qu'ils économisent sur leurs soins de santé. Nous devons faire tout ce qui est possible pour éviter cela", a-t-il déclaré à De Standaard vendredi.

"Ceux qui ont besoin de soins devront apprendre à attendre." Tel était le titre de la première page de De Standaard du mardi 9 août. Malheureusement, cette affirmation est correcte. Du moins, si nous continuons à organiser nos soins comme nous le faisons depuis des années. Les technologies médicales peuvent contribuer à changer cette situation, mais aujourd'hui, elles sont encore trop souvent considérées comme des gadgets plutôt que comme des éléments qui changent la donne.

Ceux qui ont besoin de soins devront apprendre à attendre. Tel était le titre de la première page de De Standaard du mardi 9 août. Malheureusement, cette affirmation est correcte. Du moins, si nous continuons à organiser nos soins comme nous le faisons depuis des années. Les technologies médicales peuvent contribuer à changer cette situation, mais aujourd'hui, elles sont encore trop souvent considérées comme des gadgets plutôt que comme des éléments qui changent la donne.

Le 31 août, De Standaard a titré "Et si..." il n'y avait pas d'enseignant en classe le 1er septembre ? Bonne question. Mais l'éducation n'est pas le seul groupe professionnel à être confronté à des problèmes croissants de personnel...

De plus en plus de personnes souffrant de problèmes de mémoire souhaitent savoir précocement si elles sont en train de développer la maladie d'Alzheimer. Elles, et leurs médecins, peuvent dorénavant s'appuyer sur un scanner cérébral pour obtenir des réponses, rapportent De Standaard et la Gazet van Antwerpen lundi.

Une partie des moyens alloués aux hôpitaux dépendra à compter du 1er juillet de la qualité des soins donnés, selon Het Nieuwsblad, De Standaard et Het Belang van Limburg. La satisfaction des patients sera notamment prise en compte.

La déconvention massive des kinésithérapeutes à laquelle avait appelé Axxon, l'organisation représentative des kinés belges, semble être restée sans réponse. Plus de 80% d'entre eux s'en tiennent en effet aux prix fixés, écrit jeudi De Standaard. La ministre de la Santé publique Maggie De Block s'est dite satisfaite de ce constat, au contraire d'Axxon, selon qui ces chiffres sont déformés.

L'appel des kinés à se déconventionner massivement ne donne pas envie de rire à la ministre fédérale de la Santé, Maggie De Block. Elle rappelle que des moyens supplémentaires ont été alloués au secteur. "C'est notre seul moyen de pression", objecte l'association professionnelle Axxon.

Les médecins-conseils des mutualités ont notamment pour tâche de remettre sur pied les malades de longue durée. Cependant, ils sont nombreux à être eux-mêmes au bout du rouleau, écrit De Standaard mercredi. Ils ont adressé un manifeste à Maggie De Block.

Médecine