Après un mois de Clock-Stop décidé en médico-mut, les négociations ont pu reprendre entre les médecins et la ministre de la Santé. Celles-ci ont pour objectif la concrétisation d'un accord solide et une confiance retrouvée entre les différentes parties.
"Les enfants qui ont besoin de soins pour une dysphorie de genre peuvent nous consulter à partir de l'âge de neuf ans", explique le psychologue Robin Heyse, membre de l'équipe chargée des questions de genre à l'UZ Gent. "Lorsque la question concerne un enfant plus jeune, nous travaillons d'abord avec ses parents."