Avec les GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) qui lancent des études épidémiologiques à échelle planétaire à l'aide de données qui transitent par leurs " clients " sur les réseaux sociaux, les cris d'orfraie entendus récemment seront rangés au rang de cuicuis de colibri. Même si les données recueillies sont encore mal agrégées, la Silicon Valley pourrait à terme ringardiser notre recherche académique traditionnelle. Certains le pensent en tout cas.