Tout sur Georges-Louis Bouchez

Les Engagés et le MR ont présenté, par l'entremise de leur chef de parti respectif, l'accord de gouvernement wallon pour la prochaine législature. Au menu, la responsabilité budgétaire (pour ne pas parler d'austérité), la gouvernance, l'emploi et la formation, l'économie, la fiscalité et, bien sûr, la santé.

Jeudi 20 juin, Georges-Louis Bouchez et Maxime Prévot ont écouté les acteurs de la santé dans le cadre des consultations de la société civile. Les 26 organisations présentes se sont senties écoutées, mais 3 heures, cela laisse trop peu de temps à chacun pour évoquer ses priorités. "Il faudra une vraie concertation, et pas simplement un tour de piste", prévient notamment Paul De Munck, président du GBO.

Les électeurs ont clairement envoyé un message de centre-droit aux dernières élections. Des gouvernements fédéral et régionaux pourraient se former assez rapidement. Le président de l'Absym wallonne et le président du GBO réagissent à chaud...

Quelle que soit l'ambition portée par l'un ou l'autre parti, les réformes en santé prendront du temps. Un temps qui fait défaut aux institutions de soins, au bord du gouffre financier. Ces dernières ont besoin d'un soutien politique rapide. Espérons que la majorité qui se dégage déjà côté wallon agisse vite et bien.

Face aux deux plaintes du MR contre un courriel envoyé par Solidaris à ses affiliés, la mutualité assume et s'estime légitime. Dans un communiqué, elle justifie la phrase que Georges-Louis Bouchez a qualifiée ce matin de fake news et tend au président libéral le miroir de ses propres accusations.

Le MR dépose deux plaintes contre Solidaris, a annoncé jeudi le président du MR, Georges-Louis Bouchez, sur les ondes de Bel-RTL. Il accuse la mutualité socialiste d'avoir adressé à ses adhérents un courriel faisant la publicité électorale du PS.

Les élections approchant, les débats politiques se multiplient et, avec eux, les punchlines bien senties. Malgré tout, il faut être prudent. Si la majorité des propos tenus par nos politiques est correcte, il leur arrive de dire quelques bêtises qui passent sous le radar des fact checks effectués par les journalistes. Sans dire qu'ils sont tricheurs ou de mauvaise foi, il convient d'être attentif.

Jeudi dernier, la Bourse de Namur accueillait un grand débat politique organisé par Unessa. Les grands partis francophones ont eu l'occasion de donner leur vision sur sept thématiques, parmi lesquelles la pénurie de personnel et l'attractivité des métiers du soin.

Le grand débat organisé par Unessa a donné l'occasion à son directeur général, le Dr Philippe Devos, d'exprimer les préoccupations du secteur aux principaux partis francophones. Ces derniers ont pu, à leur tour, donner leur vision sur le financement des soins de santé et sur la durabilité. Mais la pénurie et l'attractivité sont restées les sujets phares de la soirée.

Pour son 65e anniversaire, BeMedTech organise un symposium avec pour thème " L'oxygène pour nos soins de santé ". Une occasion de débattre des défis en matière de main-d'oeuvre dans le secteur de soins de santé.

Le ministre de la Santé publique, Frank Vandenbroucke (Vooruit), avance une proposition de prise en charge par l'employeur du deuxième mois de maladie en guise de lancement de la seconde phase de sa politique en matière d'incapacité de travail qu'il espère voir aboutir avant la fin de cette législature, écrivent L'Echo et De Tijd dans leur édition de jeudi.

La ministre francophone Valérie Glatigny (MR) présentera jeudi sa démission afin de subir prochainement une intervention médicale, annonce-t-elle jeudi dans un communiqué. Elle était en charge de l'Enseignement supérieur, de l'Enseignement de la Promotion sociale, des Hôpitaux universitaires, de l'Aide à la jeunesse, des Maisons de Justice, de la Jeunesse, des Sports et de la Promotion de Bruxelles.

Le Dr Yannis Léon Bakhouche conseille Georges-Louis Bouchez, le président du MR, dans le domaine des soins de santé. Ce jeune généraliste, qui exerce également en milieu hospitalier, est passionné par la politique et la santé. Un profil atypique. À suivre.

Le Dr Yannis Léon Bakhouche conseille Georges-Louis Bouchez, le président du MR, dans le domaine des soins de santé. Ce jeune généraliste, qui exerce également en milieu hospitalier, est passionné par la politique et la santé. Un profil atypique. À suivre.

Il a manqué énormément de choses à la Belgique pour affronter la pandémie, regrette le Dr Orban: pas de plan pandémique, pas d'unité de commandement, des politiciens hors-sol engoncés dans leur sous-régionalisme, un système sanitaire qui ressemble à un Rubik's Cube multicolore, pas de communication centralisée, une population et des médecins paumés... Et ça continue, hélas.

Il est difficile voire douloureux ces temps-ci de lire les quotidiens ou les médias politiques en ligne : chaque jour apporte son lot de scénarios plus ou moins réalistes pour la formation d'un gouvernement stable.

Le MR a rejoint les partis demandant le retrait des deux arrêtés royaux qui ont poussé plusieurs syndicats à déposer ces derniers jours des préavis de grève dans le secteur des soins de santé. Les deux textes contestés concernent la réquisition de personnel, et la possibilité de confier des actes infirmiers à du personnel non infirmier.

Quelle mouche a piqué Georges-Louis Bouchez de vouloir réduire le nombre de ministres de la santé de neuf à quatre ? Sous prétexte d'être plus efficace pour lutter contre le coronavirus, le président du MR a soutenu dans Le Soir l'idée de simplifier les structures ministérielles en santé et de supprimer quelques Maroquins.

Médecine

Article du magazine

Les vaccins ARNm contre le SRAS-CoV-2, qui ont reçu le prix Nobel de médecine, ont accéléré l'adoption clinique de la technologie ARNm. L'objectif est désormais d'utiliser ces vaccins contre d'autres agents pathogènes, plus particulièrement dans la lutte contre les infections bactériennes et la résistance aux antibiotiques.

Clinical Update

Article du magazine

La prévalence de l'asthme est toujours en augmentation dans notre pays, et tout particulièrement chez les enfants au nord du sillon Sambre-et-Meuse - la faute en revient sans doute à une densité de population et à un degré de pollution atmosphérique plus élevés. Dans ce contexte, plus que jamais, le choix d'un traitement adapté et la garantie d'un bon suivi sont d'une importance majeure.