Lorsqu'on sait que dans notre pays, 1,7 million de personnes vivent dans la précarité, on peut mesurer l'ampleur de l'impact de la pauvreté sur le report des soins.
La prise en charge du syndrome du côlon irritable (SCI) ne cesse de bouger. Comme les mécanismes multifactoriels sous-jacents sont de mieux en mieux compris, le paysage thérapeutique évolue également.