Tout sur Jean-Louis Vincent

Cette technique d'assistance respiratoire peut sauver des patients en état critique. Elle est recommandée par l'OMS. Mais les limites à son emploi et sa disponibilité n'en font pas un outil absolu.

Aujourd'hui se termine la 39e édition de l'International Symposium on Intensive Care and Emergency Medicine (Isicem). Organisé par le Service des soins intensifs de l'hôpital Érasme en collaboration avec la Société Belge de soins intensifs (SIZ), l'Isicem permet de faire le point sur les progrès réalisés en médecine d'urgence et en soins intensifs dans des domaines variés de ces deux disciplines. Plus de 6.000 réanimateurs et urgentistes ont participé au plus grand congrès mondial dans le domaine. On retiendra surtout de l'événement les évolutions liées aux nouvelles technologies.

Petit retour dans le temps, trois ans jour pour jour, à Érasme. " Lors des attentats, les ambulances sont arrivées sans crier gare. Et on n'était pas préparé ", explique le Pr Jean-Louis Vincent. " Il y a eu du cafouillage dans le triage. On nous annonçait des blessés légers et on a eu quatre blessés urgence zéro ", ajoute le Dr Jacques Créteur, chef de service des soins intensifs.

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