Tout sur Maggie De Block

Selon les derniers chiffres délivrés par Maggie De Block au sénateur MR Gaëtan Van Goidsenhoven, les médecins généralistes ont produit 1.255.555 attestations électroniques en février 2020. Un pic a été atteint en janvier 2020 avec 1.382.059 e-attestations.

L'Etat va financer des applications pour la réadaptation de patients ayant bénéficié de la mise en place d'une prothèse totale de la hanche ou du genou. Elles permettent de soutenir à distance les soins apportés par le kinésithérapeute. Dans un premier temps, ces applications seront utilisées dans le cadre d'une étude clinique comparative

Généraliste à Lochristi en région gantoise, Anneleen Van Conkelberge a vu passer beaucoup de bonnes initiatives au cours de la crise du coronavirus... et d'autres qui étaient franchement améliorables. Par trois fois, elle a pris la plume pour rappeler à l'ordre les ministres compétents. Son plus grand regret ? L'absence d'un pilotage centralisé au départ du sommet.

La ministre de la Santé Maggie De Block a annoncé samedi l'octroi pour les hôpitaux généraux et psychiatrique de deux tranches de 500 millions d'euros de plus que le milliard d'euros déjà déboursés, afin d'aider à affronter les problèmes de liquidités dus à la crise du coronavirus.

Maggie De Block, ministre fédérale de la Santé, a pris une mesure pour protéger financièrement le patient face à la crise : les prestataires de soins confrontés à des coûts supplémentaires pour le matériel de protection ne peuvent pas les répercuter sur leurs patients. Ils recevront néanmoins une intervention financière pour les aider à couvrir leurs dépenses exceptionnelles.

Lorsqu'une ministre déclare, comme Maggie De Block à l'entame du week-end dernier, "Je ne pense pas qu'on me demandera encore d'être ministre. Il est sain aussi qu'un parti procède à une relève de la garde", c'est que les carottes sont cuites. " Maggie " ne rempilera vraisemblablement pas dans un prochain gouvernement. Médecin généraliste, elle pourra se targuer d'avoir été la première ministre de la Santé publique issue des rangs libéraux depuis des décennies. La libérale aura finalement été symboliquement terrassée par un micro-organisme.

Le MR a rejoint les partis demandant le retrait des deux arrêtés royaux qui ont poussé plusieurs syndicats à déposer ces derniers jours des préavis de grève dans le secteur des soins de santé. Les deux textes contestés concernent la réquisition de personnel, et la possibilité de confier des actes infirmiers à du personnel non infirmier.

La ministre de la Santé publique, des Affaires sociales et de l'Asile et la Migration, Maggie De Block ne s'attend pas à devenir encore ministre. "Je ne pense pas qu'on me le demandera. Il est sain aussi qu'un parti procède à une relève de la garde", a-t-elle dit samedi dans une interview au journal Het Laatste Nieuws.

Maggie De Block, ministre fédérale de la Santé, a pris une mesure pour protéger financièrement le patient face à la crise : les prestataires de soins confrontés à des coûts supplémentaires pour le matériel de protection ne peuvent pas les répercuter sur leurs patients. Ils recevront néanmoins une intervention financière pour les aider à couvrir leurs dépenses exceptionnelles.

Le 4 mai, le Moniteur a publié un arrêté-royal " habilitant le Roi à prendre des mesures de lutte contre la propagation du coronavirus COVID-19, aux fins de réquisition des professionnels de soins de santé " qui a fait réagir tant les syndicats que certains soignants militants sur Facebook qui se convainquent qu'on se prépare à une deuxième vague pandémique. Maggie De Block assure qu'elle préfère prévenir plutôt que guérir.

Le président de la SSMG, le Dr Thomas Orban, MG à Ixelles, fait le point sur la situation de la médecine générale face au Covid19. Si les choses s'améliorent par rapport au début de la pandémie, le médecin réclame toujours plus de transparence des autorités. Il estime que la Belgique a subi un crash-test dont il ressort que notre pays est extrêmement complexe à gérer. Sa déception reste grande devant l'impréparation des élites politiques. Il assume le mot en six lettres qu'il avait prononcé à l'encontre de la ministre de la Santé, Maggie De Block, dans notre avant-dernier numéro (n°2626) : Dehors !

" Nous insistons pour rouvrir les consultations extrahospitalières et hospitalières ", souligne le Dr Jean-Luc Demeere. Le président du GBS propose six priorités à Sophie Wilmès et Maggie De Block pour réduire le risque de dégâts collatéraux causés par le manque de soins aux personnes qui en ont besoin.

À l'instar des autorités qui recommandent aux médecins de prendre en charge les patients qui nécessitent des soins, le Groupement belge des spécialistes (GBS) s'inquiète de l'état de santé de la population belge. Il livre six recommandations à la Première ministre et à la ministre de la Santé. " Il faut créer une sécurité sanitaire afin de limiter au maximum les dommages collatéraux liés directement et indirectement au Covid-19. "

Depuis quelques semaines, les critiques se concentrent sur notre ministre fédérale de la Santé. Notre éditorialiste rappelle que l'impréparation face à la pandémie est le fait de beaucoup d'acteurs politiques et sanitaires. Maggie De Block n'est pas la seule responsable.

Maggie De Block doit-elle quitter son poste et laisser sa place à quelqu'un d'autre pour mener la bataille contre le Covid-19 ? La majorité des responsables médicaux ou politiques qui ont répondu à cette question du jdM estiment que le moment n'est pas opportun. Mais ils lui livrent une série de recommandations utiles.

Médecine

Article du magazine

Les vaccins ARNm contre le SRAS-CoV-2, qui ont reçu le prix Nobel de médecine, ont accéléré l'adoption clinique de la technologie ARNm. L'objectif est désormais d'utiliser ces vaccins contre d'autres agents pathogènes, plus particulièrement dans la lutte contre les infections bactériennes et la résistance aux antibiotiques.

Clinical Update

Article du magazine

La prévalence de l'asthme est toujours en augmentation dans notre pays, et tout particulièrement chez les enfants au nord du sillon Sambre-et-Meuse - la faute en revient sans doute à une densité de population et à un degré de pollution atmosphérique plus élevés. Dans ce contexte, plus que jamais, le choix d'un traitement adapté et la garantie d'un bon suivi sont d'une importance majeure.