Une étude de la Mutualité chrétienne confirme incidemment la chanson de Jacques Brel : " Mourir, cela n'est rien, mais vieillir, ô, vieillir... " En effet, l'utilisation des antidépresseurs est proportionnel à l'âge qui avance : un octogénaire consomme près de trois fois plus d'antidépresseurs qu'un trentenaire. Chez les femmes de plus de 80 ans, le recours aux antidépresseurs concerne même près d'une personne sur cinq. Les vieillards ne sont donc pas plus heureux que les jeunes.