Lorsqu'on sait que dans notre pays, 1,7 million de personnes vivent dans la précarité, on peut mesurer l'ampleur de l'impact de la pauvreté sur le report des soins.
"Les enfants qui ont besoin de soins pour une dysphorie de genre peuvent nous consulter à partir de l'âge de neuf ans", explique le psychologue Robin Heyse, membre de l'équipe chargée des questions de genre à l'UZ Gent. "Lorsque la question concerne un enfant plus jeune, nous travaillons d'abord avec ses parents."