"Un volontaire qui distribue des repas dans une maison de repos pourrait avoir écho de données issues d'un dossier médical", selon les ministres De Block et Peeters. A l'avenir, le volontaire ne déterminera plus s'il est tenu ou non au secret professionnel. Ce sera l'organisation faisant appel à lui qui devra "clairement préciser" si c'est le cas.