" En soins palliatifs, nous sommes habitués à prendre en charge un certain nombre de symptômes sur lesquels le patient communique explicitement, comme la douleur ou la détresse respiratoire ", recadre le Dr Jan Stulens (généraliste/MCC à Hasselt - médecin d'équipe de l'équipe de soutien palliatif limbourgeoise Pallion - médecin palliatif à l'AZ Vesalius à Tongres - président du groupe de travail médecins d'équipe de la fédération flamande des soins palliatifs (FPZV)). " Le delirium est quant à lui un tableau qui se glisse souvent d'une manière insidieuse dans une situation palliative... et il arrive régulièrement que l'on passe complètement à côté. "