Tout sur Tongres

Le Collège de la médecine générale francophone (CMG) a exprimé par voie de presse (Lienlire ici/Lien) son soutien au Dr Schiepers, accusée par une patiente d'empoisonnement suite à l'administration d'un vaccin contre le covid.

Deux médecins ont conclu un accord de partenariat pour la pratique commune de soins de santé scientifiquement valables. L'un des deux s'est engagé à payer chaque mois 20% de ses honoraires à l'autre pour compenser l'utilisation de locaux, de personnel et de matériel, ce que l'on appelle une redevance d'utilisation. Après quelques années, le premier médecin a fait valoir que l'accord était nul et non avenu, car cette redevance d'utilisation constituait en fait une dichotomie ou un partage d'honoraires, ce qui est apparemment en contradiction avec le code de déontologie médicale et la loi relative à l'exercice des professions des soins de santé (Lepss). Le médecin a donc récupéré les redevances d'utilisation déjà payée.

" En soins palliatifs, nous sommes habitués à prendre en charge un certain nombre de symptômes sur lesquels le patient communique explicitement, comme la douleur ou la détresse respiratoire ", recadre le Dr Jan Stulens (généraliste/MCC à Hasselt - médecin d'équipe de l'équipe de soutien palliatif limbourgeoise Pallion - médecin palliatif à l'AZ Vesalius à Tongres - président du groupe de travail médecins d'équipe de la fédération flamande des soins palliatifs (FPZV)). " Le delirium est quant à lui un tableau qui se glisse souvent d'une manière insidieuse dans une situation palliative... et il arrive régulièrement que l'on passe complètement à côté. "

Les hôpitaux doivent passer en phase 2A d'ici au 2 novembre, peut-on lire dans une lettre du Comité Hospital & Transport Surge Capacity adressée aux hôpitaux. Certains hôpitaux wallons et bruxellois ont déjà anticipé le mouvement depuis plusieurs jours. Ils cherchent des solutions pour transférer certains patients des soins intensifs et réduisent leurs activités programmées.

Médecine

Le dernier rapport de biovigilance de l'Agence fédérale des médicaments et des produits de santé (AFMPS) confirme une tendance déjà observée ces dernières années : la majorité des incidents graves signalés concernent le système reproducteur. Entre janvier 2023 et juin 2024, 281 notifications ont été recensées, un chiffre stable depuis 2020.