Dès l'instant que l'on évoque le sport de haut niveau - et en particulier le cyclisme - c'est le spectre du dopage qui réapparait, comme une ombre nécessairement projetée par tout sportif dans l'effort. Ce mal que l'on dit " obligé " pour gagner est toutefois à géométrie hautement variable et la ligne de démarcation entre le moralement indéfendable et le socialement autorisé reste floue.