"On le savait, le jour où des foyers se déclareraient dans les maisons de repos, ça flamberait et l'incendie serait difficile à éteindre. On le savait, et on a alerté les autorités. On le savait parce que la situation en termes de matériel de protection était alarmante. On le savait parce que les expériences italienne et française l'avaient déjà démontré ", pointe Valérie Victoor. Le conseiller général de la fédération santhea considère que la réaction des autorités a beaucoup trop tardé. Santhea et Unessa réclament des mesures rapides.