Un trajet de soins oncologique est généralement marqué par plusieurs moments - autres que le diagnostic - où le patient se voit annoncer des mauvaises nouvelles. Convaincue que la capacité du médecin à bien gérer les émotions de son interlocuteur peut contribuer à limiter le stress lié à ce type de conversation, l'équipe de l'institut Cédric Hèle a développé spécialement pour le corps médical un module d'e-learning à ce sujet.
Sur le site officiel du gouvernement français, apparaît le 5 août 2016 ce titre : Les nouveaux droits des personnes en fin de vie pleinement effectifsune avancée fondamentale pour les droits du malade et de l'individu.
Il est bruxellois, médecin généraliste et il publie un livre profondément touchant sur l'euthanasie (La Traversée du Jour, Ker Editions). Pas l'ouvrage d'un philosophe germanopratin mais d'un soignant au contact. Le Dr Philippe Lebecq raconte.
Il n'y a pas photo : la sédation palliative n'est pas une alternative à l'euthanasie. C'est un concept valise qui permet au seul médecin de l'appliquer. Cette sédation ne peut être utilisée qu'en toute transparence et vis-à-vis d'un patient si possible dûment informé. C'est l'avis de l'éthicien Wim Distelmans qui a publié récemment un livre sur le sujet.
"Les enfants qui ont besoin de soins pour une dysphorie de genre peuvent nous consulter à partir de l'âge de neuf ans", explique le psychologue Robin Heyse, membre de l'équipe chargée des questions de genre à l'UZ Gent. "Lorsque la question concerne un enfant plus jeune, nous travaillons d'abord avec ses parents."