"Des incitants financiers adéquats font actuellement défaut, ce qui entraîne une certaine lassitude au sein des réseaux - et je le comprends tout à fait. Les directeurs d'hôpitaux gèrent des budgets de plusieurs millions et emploient des centaines de personnes. Ils ne vont pas se lancer dans de folles aventures sans être couverts par les autorités."