Originaire d'Athens en Géorgie, Christina Schneider se " locate " sans perdre le nord sur la carte du pop.
Locate S,1... On fait plus sexy comme nom. C'est pourtant la sémillante Christina Schneider qui se cache derrière cette appellation, qui n'est pas la seule sous laquelle la talentueuse citoyenne d'Athens, Géorgie, se dissimule et se produit. Celle qui est, comme REM, originaire de cette ville du sud profond, fait montre, à l'instar de ces prédécesseurs, parfois d'une même pop-rock classieuse, tortueuse comme sur " You Were Right About One Thing " qui ouvre le disque.
Mais son éventail musical se révèle bien plus varié : passant d'un simili-calypso sur " Go Back To Disney " à un " Hard Attack " dont la vibe disco funky évoque la grande époque du SOS Band.
Son timbre angélique s'adapte tout aussi bien à la pulsion aérienne également très 80's d'une " Pieta ", qu'à la rythmique très Ronettes et " Be My Baby " de " Wicked Jaw ", lequel clôt en même temps qu'il donne son nom à l'album, son troisième du nom en six ans.
Guitare plus en avant, " The Hard Way " plonge lui dans le rock seventies avec délice, alors que " Have You Got It Yet " rappelle celui, pionnier, des années cinquante revisité par un groupe de rockabilly ska. Quant à " Blue Maniez ", il serait la rencontre improbable - et réussie - entre Julie Cruise et... Enya ! Lequel morceau précède l'échappée, belle et jazz, de " Daffodil ".
Une palette impressionnante sous une pochette qui évoque Ricky Lee Jones ( et son " Girl At Her Volcano "), laquelle pochette renferme 11 morceaux compacts, accrocheurs, qui, à l'inverse du portrait naïf de Christine décorant la couverture, en esquisse un autre, résolument... pop !
Locate S, 1. Wicked Jaw. Captured tracks/konkurrent.
Locate S,1... On fait plus sexy comme nom. C'est pourtant la sémillante Christina Schneider qui se cache derrière cette appellation, qui n'est pas la seule sous laquelle la talentueuse citoyenne d'Athens, Géorgie, se dissimule et se produit. Celle qui est, comme REM, originaire de cette ville du sud profond, fait montre, à l'instar de ces prédécesseurs, parfois d'une même pop-rock classieuse, tortueuse comme sur " You Were Right About One Thing " qui ouvre le disque.Mais son éventail musical se révèle bien plus varié : passant d'un simili-calypso sur " Go Back To Disney " à un " Hard Attack " dont la vibe disco funky évoque la grande époque du SOS Band.Son timbre angélique s'adapte tout aussi bien à la pulsion aérienne également très 80's d'une " Pieta ", qu'à la rythmique très Ronettes et " Be My Baby " de " Wicked Jaw ", lequel clôt en même temps qu'il donne son nom à l'album, son troisième du nom en six ans.Guitare plus en avant, " The Hard Way " plonge lui dans le rock seventies avec délice, alors que " Have You Got It Yet " rappelle celui, pionnier, des années cinquante revisité par un groupe de rockabilly ska. Quant à " Blue Maniez ", il serait la rencontre improbable - et réussie - entre Julie Cruise et... Enya ! Lequel morceau précède l'échappée, belle et jazz, de " Daffodil ".Une palette impressionnante sous une pochette qui évoque Ricky Lee Jones ( et son " Girl At Her Volcano "), laquelle pochette renferme 11 morceaux compacts, accrocheurs, qui, à l'inverse du portrait naïf de Christine décorant la couverture, en esquisse un autre, résolument... pop !